VI

Soudain, Portugal a donné un énorme bond qualitatif. L'Europe, culte et civilisée, approchait. Mais l'Europe peu pouvait nous offrir. L'Espagne était pire que le Portugal. Ses Chemins de Fer étaient très mauvais et les querelles parmi les diverses régions espagnoles constantes. La France continuait en la demande d'elle - même.

Une fois fait le choix définitif de l'endroit à la confluence et dispersion de rails, les Chemins de - Fer parient tout afin de faire de ce croisement de rails une place de spécialisation de ses travailleurs. En 1862 il y avait, comme l'on a déjà dit, quelques tentes et maisons en bois, outre les hangars pour le matériel utilisé.

En 1864 il y avait déjà du matériel circulant d'appui et des usines. Il existait même une bien équipée à la réparation de machines.

Les structures de support aux passagers commencent immédiatement. Les ouvriers étrangers, toujours plus bien payés que les portugais, stimulaient aussi pour que le confort marchât au pair du mouvement.

Il a existé d'immédiat un buffet restaurant à repas rapides et peu après un autre restaurant et quelques pièces bien parées et agréables.

Je suis porté à conclure que ceci ait été ainsi par deux raisons : la première, par la quantité de personnes à ce croisement de rails et avec des arrêts d'attente, s'était rendu très intense.

La deuxième raison c'est que Baptiste Landareche, lui et ses neveux Virgile Shevaux et Frédérique Paris, en 1863, en arrivant à ce croisement de rails, ont vérifié que c'était une mine authentique. Ils prennent le buffet de la gare de rente et pensent immédiatement à augmenter la source de rente, en faisant un restaurant - hôtel pour les gens d'argent, non seulement pour les étrangers qu'ici vivent mais aussi pour les nobles et bourgeois riches qui préféraient ne pas se mêler à la confusion du buffet.

Si Monsieur Landareche arrive en 1863, il aura plus de temps à organiser un bon restaurant, à la française, avec toutes les parures au gré des français, de qui était spécialiste à captiver, à savoir gagner de l'argent et ils aimaient à se faire remarquer par leurs raffinements du travail. L'affaire devait être si rentable qu'immédiatement, à l'an suivant, Baptiste Landareche fait bâtir le rez de chaussée du célèbre immeuble Paris, où il a installé un bon restaurant et avec de l'espace encore pour quelques chambres. Il faut qu'on voit que la gare primitive se trouvait où se placent aujourd'hui les guichets, à vrai dire á quelques pas de l'Immeuble Paris. Le 22 Mai 1864 est inaugurée la première phase de la Linha do Norte (Ligne du Nord).

D'intermittent, la population deviendra permanente. Le croisement commence à se rendre Entroncamento. En 1864, outre les peu nombreuses et vétustes maisons de Vaginhas se sont dressées des maisons au magasinage et au matériel circulant et aux pièces de rechange afin de secourir rapidement quelque déficience de matériel.

L'Immeuble Paris a servi, immédiatement, comme hôtel d'appui au buffet de la gare outre y avoir des hôtes qui étaient hauts fonctionnaires étrangers et portugais de la compagnie. J'ajoute encore un surcroît, le roi Luís I, a dormi à Entroncamento Où ? Cela ne pourrait que d'être dans l'immeuble Paris. Je pense que tout restera plus bien éclairci quand ils seront classifiés les milliers de documents que la CP garde depuis cette époque là.

La troisième raison, parce que j'affirme qu'il devait déjà exister un restaurant et de bonnes pièces, c'est qu'en 1866 l'écrivain Danois Hans Christian Andersen l'affirme en se rapportant à un hôtel vraiment luxueux et moderne. Cela veut dire qu'au restaurant y avaient des logements confortables aussi et que l'expression encomiastique ne peut pas être prise comme manifestation sympathique envers un pays qu'il méconnaissait mais oui fruit de sincère admiration. Normalement, les écrivains sont directs à ce qu'ils affirment. Ils n'ont pas le penchant pour les révérences. En ce qui concerne à avoir parlé de la petite ville d' Entroncamento n'est pas aussi d'étonner pour un écrivant qui est habitué à feuilleter tout ce qui est de l'histoire et de la culture.

Ici nous pouvons suivre deux voies: la première c'est que les villes romaines avaient la dimension de la gare d'Entroncamento et métaphoriquement il pouvait avoir usée l'expression. La seconde c'est que Anderson, habitué á visiter fréquemment la France où un hameau quelconque, à ce temps-là et pendant plusieurs dizaines d'années, était appelé de Ville, automatiquement l'écrivain, extrapole vers d'autres peuples e d'autres régions. Au numéro 11

de la revue "O Foguete" (La Fusée), Carlos Barbosa Ferreira, en se rapportant à Entroncamento dit, à certain point de son texte "…cette gare s'assume comme la plus mouvementée du réseau national et possède des infra structures d'appui aux passagers.", comme complément de cette idée il présente immédiatement après un texte de "A Nação" (La Nation) daté du 21 Janvier 1873 où le restaurant est mentionné comme l'avait déjà été par Andersen. D'ici nous pouvons inférer que ce noeud de liaison allait être fondamental à la diversification des lignes et qu'ici les rails étaient obligés à se croiser afin d'attendre les uns les autres.

Le mouvement devait être de tel ordre qu'en 1875 Alberto Pimentel écrivait dans le "Guide du voyageur aux Chemins de fer", édition d'Ernesto Chardon, Porto, un chapitre sur Entroncamento, la gare et le restaurant, où Augusto Soromenho a obligé le train à attendre jusqu'à la a fin de son dîner.

C'était le temps où les hommes de culture, les politiques et d'autres pareils, égoïstement, imposaient leurs droits à un peuple presque analphabète, bienveillant et peu penché à créer des pétrins avec les "grands ". Augusto Soromenho a voulu manger en repos, imposa ses droits et ne s'es soucié guère de ceux qui attendaient dans le train.

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